:) j’aime conserver une petite pointe de mystère .

Un beau chapitre tout en émotions... tu fais bien de ne pas dévoiler de suite le mystère du rêve.

Chapitre de transition qui nous en apprends plus sur la mission de Lucas, les plans du père de Laurena (qui n'a pas de nom? et qui nom ou pas est un très gros c*n!). La plume est toujours très plaisante à lire et le texte est fluide. La première et seconde lecture ont été agréables quand à celui-ci. Sinon, j'avoue que j'aimerais moi aussi en savoir plus : la famille de Laurena fait-elle partie d'une communauté de sorcières? Si oui, qui en sont les chefs hormis son père? Qui sont-ils? Sont-ils d'accord avec ce qui se passe? Je vais relire le reste de l'histoire et s'il y a des indices là-dessus, je m'excuse d'avance de ne pas les avoir noté à la première lecture, mais je pense que pour étoffer ton histoire, il est nécessaire de montrer ces derniers s'ils existent, plutôt que de les mentionner au détour d'un point de vue d'un personnage qui ne peut être partout à la fois et donc pas au courant de tout ce qui se passe. Pour l'instant et ce n'est pas une critique, cette histoire ressemble plus à une sorte de drame familial intimiste puisqu'on dirait que la famille de sorcières est isolée. Ceci n'est pas déplaisant en soi, mais je trouve qu'il faudrait que ce soit peut-être un peu plus clair. Peut-être pourrait-on avoir d'autres points de vue, d'autres personnages qui ne sont pas uniquement liés à la concrétisation de la romance entre Laurena et Hayden?

Coucou :). Je prends note de ton retour . C'est vrai qu'hormis les tableaux qui tremblent , les lumières qui perdent en intensité , je n'ai pas Beaucoup étoffé ce passage .

Un bon chapitre ou on voit transparaître quelques émotions par contre j aurai peut être aime un peu plus de détails sur ses pouvoirs...quand ils se dechainent comment cela à manifeste?

Honnêtement Laurena est tellement perdue face aux changements de son père qu'elle en a désormais peur. C'est comme ça du moins que je l'imagine. Raison pour laquelle elle s'écrase. Je pense qu'a un moment donné, elle va se rebeller. Concernant Lucas et sa condition de métamorphe, on est dans un univers fantastique alors que c'est vrai que chacun l'interpréter à sa façon. Moi je désirais qu'il puisse copier n'importe quel animal mais en conservant un animal de prédilection (renard). Je ne sais pas si tu connais la série True Blood mais il me semble que dans cette série , un métamorphe peu prendre l'apparence de différents animaux. Enfin il me semble…

Me revoilà, Alors ce chapitre a été très rapide à lire pour ma part, je n’ai pas noté beaucoup de chose à dire (ce qui souvent veut dire que c’est bon et c’est le cas ici). Je ne vais pas revenir sur le présent, j’ai expliqué mon point de vue dans le chapitre précédent. Sinon, il n’y a que deux points qui me font tiquer à savoir que Laurena accepte aussi vite de baisser les armes quand son père monte un peu le ton. Je veux bien qu’elle l’aime et le respecte mais elle bat trop vite en retrait à mon goût. Le second concerne qui Lucas. C’est un métamorphe et on apprend dans le chapitre précédent qu’il peut se transformer en renard mais aussi en oiseau, désolée mais j’ai un peu de mal avec ça, sans doute à cause de Harry Potter et La Communauté du Sud où un métamorphe ne prend l’apparence que d’un seul animal. Sinon comme je disais plus haut. Je n’ai rien de particulier à dire. Ce chapitre est bon et je continue de lire la suite.

Je comprends ce que tu essayes de dire au sujet des différents langages. Par exemple, les personnages doivent conserver le même tout au long du récit. Je suis d’accord. Là où je ne comprends pas, c’est le mélange de style qui à ce que j’ai cru comprendre te dérange. Dans un texte, tes personnages sont différents et ne vont pas tous interagir de la même façon. L’un peut-être plus vulgaire, un autre plus prude, etc... C’est le cas aussi en fonction de l’âge de la personne. Quand le père de Laurena lui demande si sa haine s’est tarie ? ne me choque pas. Cela m’aurait dérangé si cela avait été une question de Lucas. Paternel est utilisé seulement en incise. Après le fait que j’essaie d’éviter trop les répétitions (par exemple père) est peut-être un tord de ma part et que je me finis par me perdre. À méditer…. En ce qui concerne les pouvoirs qui se déchainent, je mentionne les changements d’intensités des lumières et les tableaux qui frappent les murs. J’ai pensé que c’était suffisant. Peut-être aurait-il fallu que j’appuie davantage sur ce point.

Toujours les mêmes remarques. Une narration qui se veut travaillée, (parfois de manière un peu forcée, avec des formules maladroites), et puis des choix de vocabulaires qui paraissent totalement en décalage. "mon paternel". Pourquoi pas "mon daron", tant qu'à faire? ça fait bizarre. Il faut choisir ton camps. Soit c'est un récit de littérature classique, de belles lettres, avec une ambiance léchée et du vocabulaire soutenu ("ta haine envers eux se serait-elle tarie?"), soit c'est du contemporain parlé (le pyjama en pilou, décrit comme tel, ce qui est soit n'est pas un problème mais ne colle pas au reste de l'ambiance ; "mon paternel"). Remarque sur le fond : elle mentionne que ses pouvoirs se déchainent, mais ne décrit aucun effet. Quels pouvoirs? Comment se déchainent-ils? On reste dans le flou total. Remarque de forme rapide : "ma voix a monté dans les octaves" : Soit sa voix EST montée d'un octave ; soit sa voix est montée dans les aigus.

Arf, j'ai déjà remarqué l'utilisation du mot "chose" dans le chapitre précédent et il reparaît encore ici une fois ou deux ^^ J'ai ce mot en horreur, surtout dans la narration (j'accepte dans les dialogues pour un effet plus "naturel"). La langue française est riche, il y a toujours un mot qui pourrait remplacer ce mot "interdit" ^^ Pour le reste, on désire en savoir plus sur les pouvoirs de notre Laurena... Et quelles sont les raisons de cette hostilité les uns envers les autres... ?